| Kathleen A. Lynch - Le bonheur est dans la pente entre le sol et le ventre Sujet: Le bonheur est dans la pente entre le sol et le ventre Mer 6 Aoû - 22:44 | |
| « Rien ne dure au-dessus de la ceinture. » PHYSIQUE Elle est désirable. Peut-être trop. Peut-être pas assez. Au fond, je n’en sais rien, je ne peux que vouloir la posséder. Elle n’a rien de particulier, rien qu’on puisse lui envier. Et pourtant, pourtant je ne peux que l’aimer. C’est stupide, mais je rêve de glisser mes doigts dans cette chevelure diopside en raison du fait qu'elle l'a colorée, de m’emparer de ces yeux d'un marron si pâle qu'ils tirent vers l'ambré, de ces lèvres rosées, de m’enivrer de son parfum qui n’a cependant rien de bien différent de celui des autres femmes que j’ai aimées. J’en ai fait mon interdit, mon péché. Mais cela m’empêche-t-il de la désirer ? De la vouloir si fort que je ne suis même pas sûr d’être satisfait lorsque je l’aurais possédée ? Au fond, je ne veux qu’entendre mon nom prononcé par sa voix aussi délicate qu’impitoyable. Je ne veux que pouvoir agripper sa taille bien trop fine pour l’empêcher de m’échapper. Je veux la sentir contre moi, cette peau si pâle qu’elle en deviendrait presque dénuée d’une quelconque couleur. Et ces habits qu’elle porte. Ces robes dont elle se vêt, ces jupes cintrées et jeans moulants qui, si sur certaines auraient été qualifiés de sexy, deviennent une pure invitation à la débauche, lorsqu'elle les revêt. J’aimerais l’en déposséder. Son corps est un appel à la décadence, à la luxure. Elle est belle, elle le sait. Mais elle ne me sourit pas, me voit même pas. Et c’est certainement ce qui la rend fautive à mes yeux. Fautive d’une beauté sauvage que je désire alors que je pourrais trouver mieux. Alors j’oublie, j’oublie en caressant du regard ce corps longiligne et aux formes juste assez prononcées. De sa poitrine ronde et modeste à ses hanches légèrement dessinées. De ses jambes fermes et longues à ses fesses petites bien que remontées. Elle est désirable, et je le sais.
Petit + : Elle a une cicatrice verticale qui part de la moitié de son sein gauche, jusqu'en dessous. MENTAL Mais tu es une créature de suffisance et de narcissisme, Kathleen. Tu es belle, et jamais tu ne le nierais. Tu marches la tête haute, fière de ton orgueil et de ton impitoyable honnêteté. Manipulatrice et opportuniste, tête et susceptible, séductrice et infidèle, joueuse et hautaine. Tu n’as aucune réelle moralité, tout le monde le sait. Au fond, c’est un peu comme de la sociopathie, bien qu’on ne te l’ait jamais directement diagnostiqué. Tu t’aimes telle que tu es. Mais tu n’es pas faite que de défauts, Kathleen. Tu es ambitieuse et impliquée, mais surtout franche. D’une franchise dénuée de quelconque diplomatie, certes, mais tu ne te gardes jamais de clairement dire aux gens ce qui te plaît ou pas. Nobles, ou pas. Et d’aucuns en sont même venus à te qualifier de petite fille capricieuse de mauvaise foi. Tu ne fais que cracher ton venin, sans te soucier des conséquences. Tu n’as pas peur, il n’y a que toi qui compte. Toi et ton égo démesuré. Toi et cet amour si particulier que tu portes au plaisir charnel et à la beauté. Il faut se le dire, n'ayons pas peur des mots, ton addiction au sexe relèverait presque de la nymphomanie. Ceci dit, tu ne couches pas avec n'importe qui. Tu es superficielle, on ne peut s’en cacher. Mais plutôt que de passer à tes journée à t’abandonner à la luxure, tu aimes mieux prévoir, réfléchir, mettre en place ce que sera ton avenir. Tu es rusée, Kathleen. Patiente aussi. Mais tu as peur. Peur de tout perdre à cause de tes tendances capricieuses et parfois mégalomanes. Peur de céder une fois de plus à une passion dévorante qui te consumera, également. Tu ne veux plus aimer, tu n'es pas faite pour cela. Toutefois, lorsque c'est le cas, tu aimes d'un amour sincère, Kathleen. Que tu veuilles te l'admettre, ou pas. | NOM: Lynch. PRÉNOM: Kathleen Alexa. ÂGE: 23 ans. SEXE: Féminin. SEXUALITE: I love you Penis_Chan. SITUATION AMOUREUSE: Célibataire libertine et sans attaches. PROFESSION: Fille à papa. CATÉGORIE D'ARMES: A distance - Arbalète. QUARTIER: Premier quartier. GROUPE: Nobles. NOTES: /
HISTOIRE« J’ai besoin de toi comme d’une infirmière. Quand je me demande ce que je fous ici et que je colle ma tête pendant des heures sur l’oreiller, tétanisé, assommé, incapable de rien. J’ai besoin de toi comme d’une infirmière, que tu me dises que je suis hors de danger, que mon état va s’améliorer. Que tu passes ta main dans mes cheveux, que tu prennes ma vie pour en faire quelque chose de mieux. »
« Je n’aurais jamais dû te regarder. » Je ne l’avais pas tout de suite compris la première fois où je l’ai vue. La seule chose qui m’était restée en tête était sa chevelure étrangement verte. Mais on voyait, on voyait sur ce visage qu’elle était ce genre de fille qui n’avait jamais vraiment vécu. Je l’avais croisée au détour d’une rue, sans trop savoir quoi faire ou dire, elle m’avait juste observé, d’un de ces regards qui vous poussent à vous demander pourquoi vous existez. Je ne saurais dire si c’était parce que j’étais au milieu de son chemin ou si c’était parce que ma tête la dérangeait. « Pousse-toi, tu gênes. » Ca m’avait échappé, comme ça, comme de l’eau qu’on laisse couler. Et je l’avais écartée de ma route, sans ménagement, parce que je ne voulais pas la regarder.
« Jusqu’ici, j’avais pas trouvé des tas de raisons d’exister. » Evidemment, je l’avais recroisée. Auquel cas, cette histoire n’aurait aucun intérêt, et je ne comprends pas même pourquoi c’est à moi de vous la raconter. Passons, de tous les endroits où elle aurait pu vivre, il avait fallu qu’elle choisisse le premier quartier. Plus d’une fois, nos chemins se sont croisés, sans un regard l’un pour l’autre, nous n’étions que deux étrangers. Mais plus je la voyais, plus j’avais envie de la détruire, de l’écraser. Cet air suffisant qu’elle arborait, ces yeux méprisants qui ne daignaient même pas me montrer de l’intérêt. Elle avait tout pour plaire, tout pour être désirable, tout pour faire tourner la tête de plus d’un homme, et j’avais fini par céder. Je ne saurais dire combien de temps s’était écoulé entre notre premier échange et le second, mais il était bien assez important pour que j’en aie oublié cette voix imperturbable qui la caractérisait. « Qu’est-ce que tu veux ? » « Toi. » Elle avait rigolé, m’avait craché au visage que jamais je ne l’aurais. Mais j’avais essayé. Heurté dans ma fierté, j’avais lancé un jeu totalement stupide où c’était au premier qui craquerait. Et elle avait accepté, même si à ses yeux je n’étais encore qu’un étranger.
« Ca m’est retombé dessus d’un coup. Je me suis senti seul, triste et fatigué. » J’avais lancé les hostilités. J’avais commencé à la provoquer, à la toucher. Mais elle avait instauré une règle, une règle que je brûlais d’envie de briser « Pas de baiser. » Je le savais, qu’elle s’amusait, et moi je me perdais. Je me consumais. D’une haine viscérale qui me poussait à la désirer autant qu’à vouloir la tuer. « Tu n’as pas compris. Ton humanité, tu l’as perdue dès l’instant où tu m’as désirée. » Je ne pouvais le nier. Mon cœur déjà meurtri par la vie se voyait noirci par les instincts animaux qu’elle savait éveiller en moi. C’était inhumain, douloureux et frustrant. Je l’adulais, je l’adorais, au point de vouloir la tuer. J’aimais cette façon qu’elle avait de me toucher, de me caresser. Nous n’avions jamais couché ensembles, nous nous contentions de jouer, de nous chercher. Et j’avais perdu. J’avais abdiqué. « Je te hais, tu sais. Tu es vraiment une ordure… Mon amour. »
« J’ai besoin de toi comme d’une infirmière, que tu m’aides à trouver le sommeil, qu’on se réveille dans des draps blancs. Que tu me dises que c’était qu’un mauvais rêve, que tout ça c’est derrière moi maintenant. » Et puis tout s’était arrêté. Elle avait disparu de ma vie, mais pas de mon esprit totalement détraqué. Je ne l’avais plus vue durant des jours entiers que je me perdais à compter. Je la désirais, je l’aimais tant et si bien que je la haïssais de me pousser ainsi à l’aimer, tellement que je ne pouvais tout simplement accepter que tout se termine parce que madame le voulait. Mais je ne voulais pas lui faire le plaisir de revenir en rampant, j’avais ma fierté, ou du moins le peu que j’avais su garder. Jusqu’à ce qu’elle revienne. Ce jour-là, la robe qu’elle portait avait été salie par le sang. Par son sang. Je n’avais pas eu le temps de parler, ni même de l’enlacer, elle est venue, s’est plantée devant moi, et m’a tout raconté.
« Le soir de ma venue au monde, les cris de ma mère déchiraient le calme plat de la chambre où elle avait été installée. Et elle me maudissait, autant qu’elle maudissait mon père, tu sais. La douleur était intense, tant et si bien qu’elle en était venue à pleurer, à hurler, à divaguer, à se perdre dans des délires brumeux d’une mort certaine qui désirait l’emmener. Une femme victime de son premier accouchement qui se répétait sans cesse qu’elle aurait tout donné pour ne jamais avoir conscience des sensations qu’offraient l’acte de donner la vie. Moi je n’en avais cure, je me contentais de pleurer, de lui rappeler inconsciemment que si elle avait tant souffert ce n’était que pour en être plus fière. Et de là je devins son orgueil et sa faiblesse, son apothéose et sa détresse. J’étais une enfant surprotégée, en seule raison du fait qu’après moi, ma mère ne fût plus apte à enfanter. Je ne vivais pas, ou du moins, je me contentais de laisser les jours se succéder. Pourtant, mon enfance fût des plus agréable. J’étais aimée, j’avais ce que je voulais, mais grandir dans une telle atmosphère a fini par éveiller en moi des troubles mentaux qui relèvent de la sociopathie. Ma vie n’avait rien de particulier, jusqu’à ton arrivée. Et si tu savais comme je te hais, désormais. Je ne voulais que t’écraser, te faire regretter de m’avoir ainsi méprisée, je voulais te voir dépérir sous la passion que j’aurais fait naître en toi. Mais tu es devenu mon évanescence, mon interdit et mon péché. Je ne veux pas t’aimer, cependant je ne peux pas m’en empêcher. Alors j’ai essayé, de m’arracher ce cœur qui a fini par ne vouloir que toi, de mettre fin à cette vie de débauche qui n’avait été calmée que par toi. J’en ai connu des hommes, tu sais. J’en ai désiré, mais jamais je n’ai aimé quelqu’un jusqu’à le détester. Je t’aime si fort que j’en veux ta mort, mon trésor. »
Et moi je l’avais écoutée, sans même savoir pourquoi je le faisais. Elle m’avait tout dit. Qu’elle menait une vie paisible aux côtés de ses parents, qu’elle était un peu la princesse à papa malgré ses tendances à faire un peu n’importe quoi. Je le savais, que c’était dans la luxure que sa vie se perdait. Mais je n’avais aucunement conscience du fait qu’elle aussi, elle m’aimait. Elle a fini par me l'avouer. Avouer que ces tâches de sang sur sa robe n’étaient dues qu’à un accès de folie durant lequel elle avait tenté de s’ouvrir la poitrine. De broyer ce cœur que j’avais meurtri par la passion et l’envie. Elle m’avait avoué que j’étais tout ce qu’elle aimait, tout ce qu’elle désirait, et que pour cela, elle avait décidé de m'échapper. Je ne l’avais pas retenue. Kathleen avait toujours été remarquablement têtue.
« J’ai tenté de te retenir, du bout des doigts, pour te ramener contre moi. » J’ai continué à l’aimer. Longtemps. J’aurais pu mourir, me suicider, mais elle était devenue ma raison de vivre, le but de mon existence même si je ne pouvais que me contenter de la regarder, désormais. Je ne lui ai jamais tenu rigueur de son départ. Je le savais, Kathleen n’était pas faite pour aimer. Toutefois, j’ai continué à prendre de ses nouvelles. Et bien que l’amour nous ait éloignés, j’étais assez proche d’elle pour savoir qu’elle avait suivi ses études sans réels problèmes, poussée par l’idée d’être enviée en raison de sa intelligence comme de sa beauté. Au final, elle n’avait pas changé. Sa vie n’avait été que plate après tout cela. Ses nuits de luxure différaient d’un homme à l’autre, et elle ne passait ses journées qu’à lire et étudier. Rien de fort intéressant en soi. Moi, j’avais fini par me résigner, par m'en aller, pour l'oublier. Parce que je ne pouvais plus supporter de voir ce visage que j’avais finalement réussi à changer.
« Elle avait l’air délicate, désinvolte, mais sereine, comme si elle avait jamais douté de rien, même pas d'elle-même. »
ET IRL?PSEUDO: Kath'. ÂGE: Bientôt 20 ans. A PROPOS DE VOUS ?: Je dis souvent n'importe quoi. SPONSORISE PAR: L'ananas arc-en-ciel. En vrai j'suis ici grâce à Mark/Alex (en partie) mais Fraus m'avait déjà parlée du forum. COUCOU C'EST MOI CALY ♥. FEATURING: C.C. ? CODE:Le rescapé de glam métal valide. |
Dernière édition par Kathleen A. Lynch le Jeu 7 Aoû - 11:22, édité 8 fois |
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Messages : 61 Date d'inscription : 19/06/2012 Fiche : [url=URL DE TA FICHE]Titre de la fiche[/url]
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| John Doe - Le bonheur est dans la pente entre le sol et le ventre Sujet: Re: Le bonheur est dans la pente entre le sol et le ventre Jeu 7 Aoû - 3:37 | |
| BIENVENUE NOBILIS ! *copite Natasha... et se rend compte qu'ils sont pas sur le bon jeu* Haherm.
Bon, ici Sacha / Léo / toussa / chèvrotarie, BREF, le fonda' et je viens juste te signaler trois petits trucs dans ta fiche:
- En fait, les seins ne sont plus du tout considérés comme quelque chose de sexuel ou quoi, du coup un décolleté ben ça fait pas énormément d'effet. Disons si tu veux que le sexisme a genre été limite ERADIQUE quoi. Doooonc voilà, c'était surtout pour te prévenir de ça déjà et:
- Si tu pouvais simplement préciser que ses cheveux sont teintés (genre tu rajoutes après diopside "teintés", comme ça ça continue tes rimes en é) ce serait grave tiptopkool. ♥
- TU PEUX PRENDRE L'AVATAR QUE TU VEUX MAIS JE M'EN FOUS, CELUI QUI A LELOUCH EST A MOIIIIIIIIII.
lovelove ♥ j'espère que tu brûleras dans les feux de l'enfer pour avoir pris tel avatar je t'aime ♥
(je déconne hein je t'aime et tout hein j'adore comment tu écris, j'ai pas encore lu le mental mais je suis fatigué désolé voilà je je m'en vais je pars me coucher) |
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| Kathleen A. Lynch - Le bonheur est dans la pente entre le sol et le ventre Sujet: Re: Le bonheur est dans la pente entre le sol et le ventre Jeu 7 Aoû - 8:22 | |
| HUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUSS. Merci m'sieur l'admin. Mais je tiens à préciser que cette fiche n'a été ni relue, ni modifiée, à vrai dire j'l'ai juste transférée depuis un autre forum où je suis inscrite, huehuehuehue. Moi ? Feignasse ? Jamais. J'aime faire des rimes en "-é". Bref, du coup bhaaaa le fait que j'parle de seins et de cheveux verts est normal pour le moment vu que je ne l'ai pas encore modifiée mais je le ferais ~. Quant à Lelouch bha...D'accord hein xD. De toute manière Kathleen est libertine, alors bon. Qui plus est, ce n'est pas parce que je joue C.C. que j'vais sauter sur un Lelouch (dit-elle, *toussote* ta gueule Mark/Alex ♥) tqt ~. C'juste que Kathleen = C.C. par défaut !
MAIS LES FLAMMES DE L'ENFER NE PEUVENT RIEN CONTRE MOI JEUNE INCONSCIENT, MUHUHUHUHHUHUHUHUHU. Bref, ma gueule. Moi aussi je t'aime pqt tmtc sisi tkt ♥
Ludwig > Merci c'est très gentil *^* ♥ Je dois préciser que j'hésitais à garder Kathleen pour au final faire une magistrate ? /POELE/ |
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