◆ "FAST" EVENT 001: MON ROYAUME POUR UNE PARADE !

Elle vole, Dame.

Elle est poursuivie ! Poursuivie, suivie, elle vit. Elle sent le sang qui bat dans ses veines et qui l'abat ; mais il ne faut pas, Dame, ou c'est lui là-bas qui l'abattra.

Pourquoi ?

Mais pas même elle ose jeter un oeil à l'homme qui la suit. Non - parce que son but est ailleurs. Parce que déjà, elle s'engouffre à toute vitesse dans le bâtiment, parce qu'elle espère courir assez vite pour être hors de portée à la balle qu'elle entend déjà partir plus loin, parce qu'il faut qu'elle les rejoigne et...

Pourquoi ?

Et alors qu'elle sent la peau se déchirer sous sa lame, qu'elle sait qu'elle blesse, qu'elle pourrait tuer, qu'elle vient de vendre son âme au Diable, le coup s'abat contre sa tempe.
Avant même de réaliser qu'elle est sonnée, une douleur lui traverse la cuisse. Fulgurante, insensée, tellement inattendue.

Nat' hurle, une seule fois, brièvement, relevant deux yeux troubles et remplis d'incompréhension vers Jonah. Qu'as-tu fait à la poupée crasse, sale vilain ?
Son regard se voile, la douleur pulse et s'efface tour à tour, rapidement, sans qu'elle ne s'en rende réellement compte. Elle bascule lentement contre le chef de la Garde, ne s'accrochant même pas à lui, et glisse au sol.
Instinctivement, elle se recroqueville en position fœtale.
Ecran noir. Game Over, Miss-tresse.

Et d'en haut, encore en train de se défoncer tout seul, il voit ses compagnons qui tombent les uns après les autres. C'est l'heure de descendre de ton perchoir, Nero.

Remettant son bazooka sur son dos, il descends donc du toit à l'aide du grappin encore là et atterris en plein milieu de la baston. Le brun se mit à courir comme un dératé pour s'éloigner de la zone qu'il jugeait "dangereuse", retira son bazooka de son dos et le cala contre sur son épaule. Et il cria, de toutes ses tripes.

« Hé les gardes ! »

Nerone se demandait s'ils allaient l'entendre. Il pointa son arme vers le sommet.

« Bon les gars ! maintenant c'est ici que ça se passe ou je m'amuse à tirer sur le manoir ou les citoyens, au choix ! »

Il savait que c'était du suicide. Mais il ne voulait pas laisser des jeunes crever à cet âge. Oh que non.

Mon royaume pour une parade

Tu tremble de tout ton corps, petit blondin. Tu saigne beaucoup. Tu vas mourir. tu vas crever comme ça, comme un chien. Tu ne verras jamais plus Natasha, tu ne verras plus jamais personne. Tu seras à la merci des gardes, tu seras arrêté et jugé si tu as de la chance. Non soyons réaliste: ils vont te saigner à blanc et danser autour de ta carcasse pour provoquer les autres rebelles.

Mais tu continue de courir, tu continue de suivre le garde qui beuglait plus tôt, celui qu'on t'a ordonné de suivre. Tu ne te pose pas de questions, tu as trop mal. Ton bras est inutilisable, soit, mais tu en as un autre heureusement. Tu attrape un couteau, puis un autre que tu cale entre tes doigts fins et tire sur le garde au moment ou il te fait face...

Avec son arme pointée sur toi. Tu vas mourir, Maxime. Tu vas crever comme le dernier des rats. Et plus jamais tu ne verras Natasha. Une balle entre les deux yeux t'attends sans doute, à moins que ce ne soit une bonne grosse explosion dans les parties génitales? Tu vas crever, petite tête blonde. Dans la crasse, dans la peur, dans la honte...

– Et je t'emmerde, connard !!
Toujours aussi charmante, cette fille. Elle gueule sans prendre la peine de s'arrêter. Dans la salle d'armes, elle perd deux ou trois secondes à ramasser divers couteaux et armes blanches, qu'elle embarque sans faire gaffe. Les armes blanches, c'est pas son fort, c'est pas son truc préféré, mais bon. On n'est jamais trop prudent.

Et puis elle s'élance dans le dédale sans prendre le temps de se demander si c'est une bonne idée ou pas. Elle a un rebelle psychopathe qui lui colle au cul, et elle ne tient vraiment pas à vérifier de plus près s'il est aussi taré qu'il en a l'air. Alors elle trace, Oz. Droite, gauche, gauche, droite. Elle prend au pif, dans l'espoir de semer l'autre connard qui la poursuit. Elle a l'avantage de l'âge, hein. On va dire. Et de la masse aussi. C'est pas la plus endurante de tous, et elle sait qu'elle va s'effondrer d'ici peu. Mais elle sait tenir un petit sprint, et y a fort moyen qu'elle soit plus rapide que l'autre derrière. Hein oui ? Allez quoi, Dieu. Sois sympa.

FASTEVENT !!

C'était une douleur cuisante. Si la défaite qui se profilait devait être traduite physiquement, elle serait exactement semblable au coup de couteau qu'il venait de lui fendre le ventre. Heureusement, cette enflure n'avait pas les idées claire, sinon elle l'aurait planté sans difficulté. Quoi qu'il en soit, il avait la rage. La rage de ne pas avoir explosé sa petite tête blonde, la rage de sentir que tout partait en couille, la rage d'avoir été touché par une vulgaire lame. Tellement de rage qui s'était compactée dans la crosse de son flingue qu'en un coup il avait assommé la belle à lunettes. Une de moins...C'était déjà ça. Mais la rage ne c'était pas estompée dans ce coup, loin de là. Aucun de ses soldats ne répondaient à l'appel, ils étaient tous paumés et faisaient du chacun pour soi. Du grand n'importe quoi. Trop de choses en tête, trop de tension, trop de choses qui faisaient qu'il perdait le file, qu'il n'était pas concentré...Et paf ! Une autre douleur cuisante qui venait s'ajouter à la précédente. C'était le gamin, le blond, l'enfoiré qu'il avait touché plus tôt qui venait de prendre sa revanche. En plein dans l'épaule. Bien jouer sale gosse mais maintenant t'es dans sa ligne de mire. Putain. Ça faisait mal bordel, mal à en hurler mais il serait les dents, il tenait le coup... Il étriperait ce gamin même si ces putains de blessures l'empêchaient de courir. Alors il marche, il marche aussi vite qu'il peut pour mettre la main dessus et lui réserver le même sort que la blonde qui gît au sol comme un futur cadavre. Alors il tend le bras,vise le dos du jeune homme devant lui et tire.

Ha ! Mais c'est qu'elle fuyait encore, la saleté ! Et elle croyait peut-être se débarrasser de lui rien qu'en piquant un sprint à travers un dédale de souterrains qu'elle connaissait possiblement mieux que lui, étant donné qu'il n'y avait jamais foutu ne serait-ce qu'un orteil avant aujourd'hui ?
... bon, vu sous cet angle, l'idée n'était peut-être pas si mauvaise, au final. Cela ne signifiait pas pour autant qu'il allait abandonner de si tôt, l'idée de la poursuite supplantant chez lui l'éventualité qu'il se perde dans ce labyrinthe. Tant qu'il ne la perdait pas de vue et continuait de la coller au train, il y avait toujours une chance de son côté, et le « connard » en question savait courir, lui aussi, avec ses grandes gambettes maigres. Fallait juste qu'il parvienne à manger un peu l'écart qui les séparait. Rien que ça et son arme procurerait l'allonge nécessaire à son bras pour tenter un coup en traître dans le dos. Elle ne perdait rien pour attendre, tiens ! Non parce que c'était bien beau de jouer à chat, mais il comptait pas non plus continuer jusqu'à se retrouver à bout de souffle, hein...

TOUR 6.

ENVIRONNEMENT:
- Ben euh... rien pour le moment. Ca va c'est cool ! Enfin, si on oublie le champ de force qui est maintenant hors-service et Nerone qui gueule. Alex peut l'entendre, même s'il est face à R-C Weapons. Ceux qui ne l'entendent pas sont dans les souterrains... ou alors se sont cassé la gueule, n'est-ce-pas Sacha ?
- Au fait, Jonah O'Leary parle dans son casque, par micro intégré. Donc les gardes l'entendent... sauf Oz évidemment. Jonah peut donc entendre simplement un grésillement.

GARDES CIVILS ET ROYAUX:
- Jonah O'Leary: C'était trop beau pour durer... ! Après avoir assommé Natasha qui gît toujours au sol et de s'attaquer à son petit copain qui doit avoir choppé le mode berserk depuis le temps, tu vois tes attaques interceptées par le hasard très certainement, ou un ninja, et même que tu t'en prends sur la gueule ! Tu perds 1PV. Mais à côté, tu entends Nerone et... 'fin, tu vois quoi !
- Fraus Néri: TU SAIS QUOI FRAUS ?! TU SAIS QUOI ?! QUAND ON VISE AUCUN ENDROIT PARTICULIER, BEN ON RATE SON COUP ! AH ! EH OUAIS ! Mais t'évites quand même son couteau. Par contre, sinon, tu entends Nerone plus loin gueuler. De là où tu es, il est peut-être un peu loin... je te laisse juger si tu le reconnais ou non.
- Oz Mierzwiak: Tu entends la réponse dans une hallucination divine: "Non connasse." Ca a le mérite d'être clair... puisque Fred, te collant comme... mais merde, j'vais pas faire que des comparaisons de violeur avec Fred, c'pas sympa pour lui quoi ! En bref: il te rattrape. Sinon, tu peux tenter de corrompre le MJ, il est plus puissant que Dieu. Surtout qu'au passage, t'es complètement paumée, eh oui... fallait prendre le bon chemin !
- Alex Marston: En visant les jambes de Sacha... tu arrives à la toucher, et pas qu'un peu, vu le cri de douleur qu'elle lâche et la façon dont elle... disparaît de ton horizon en se cassant la gueule dans les escaliers menant au local souterrain. T'entends un boucan pas possible... on dirait presque un gag. Si tu la suis dans le local, tu n'entendras plus les communications de Jonah via écouteurs.

REBELLES:
- Sacha #####: Tu te prends une balle d'Alex, dans la cuisse droite et ça fait très très très mal. Tant que tu lâches un cri de douleur et te ramasse dans les escaliers menant au local, jusqu'à t'écrouler par terre. Tu ne peux plus courir et tu perds 3PVs.
- Fred Barcroft: Tu es définitivement sobre, car tu arrives à rattraper Oz. Par contre, aucune idée d'où vous vous trouvez... certainement un endroit où personne ne verra ce que tu as à faire ! ... *faut vraiment que j'arrête avec ces comparaisons, c'trop nul et pas drôle !*
- Natasha Alinovitch: Je te fais un coeur et un origami: ♥ et euh... ◘ on a le droit de dire que c'est un origami ? Bref, c'est cool, le sol est confortable et t'entends vaguement Nerone gueuler... sinon, tu peux aussi entrer dans le monde merveilleux des bisounours, si tu fermes les yeux. Je serais ton guide...
- Maxime Dolores: SUPERMAN DE CE TOUR ! Tu évites on ne sait pas comment le coup de Fraus et même si tu n'arrives pas à atteindre ce cher blondinet (certainement à cause de la douleur), tu arrives à intercepter les deux attaques de Jonah, les contrer et... le toucher ! Je te laisse gérer la description parce que je sais toujours pas comment t'as fait.
- Nerone Jelkins: A ton tour le kamikaze ! Si tu tournes la tête vers les gardes, je pense que tu peux voir la tête blonde de Fraus plus loin... mais je te laisse juger si tu le reconnais ou pas, il n'est pas non plus à côté de toi.

NOTES:
- Le Tour 6 se finit après-demain à 1h (ben oui, demain c'est trop tôt). Bonne chance !
- Si vous pouviez répondre vraiment avant 1h d'après-demain, ce serait tiptop trop cool !

Encore un tir raté, ça commençait à devenir assez inquiétant. Au moins, il avait réussi à éviter de se retrouver avec un couteau planté dans le bide, c'était toujours ça de bien. Mais il n'avait pas le temps, plus le temps de réfléchir, il fallait qu'il élimine la menace que posait le blond avant de passer à un autre rebelle, puis encore in autre, jusqu'à ce que la Garde ait vaincu l'ennemi. Pas de questions à se poser, mieux valait ne pas penser à ceux qui étaient tombés à terre ou qui fuyaient dans les souterrains et se contenter de tirer jusqu'à ce que le calme revienne ou que d'autres ordres leurs parviennent. C'était l'idée, en tout cas, mais ce plan, si on pouvait appeler ça "plan", tomba en poussière lorsque les mots de l'homme au bazooka l'atteignirent malgré la distance. Merde, ils étaient prêts à attaquer des civils maintenant ? Il avait toujours su que les rebelles n'étaient qu'une bande de terroristes, malgré leurs belles paroles.

Il n'avait pas le choix, il fallait arrêter celui ci avant que cette bataille ne tourne à la boucherie. Laissant le blond sur place non sans lui balancer un coup de crosse au passage, il fonça vers le nouvel arrivant, bien décidé à lui faire bouffer son maudit bazooka. Enfin, ça c'était encore le plan.

Amusant, la façon dont les choses tournent parfois, non ? Comme un mensonge peut avoir des conséquences inattendues, par exemple. On se dit toujours qu'on rétablira la vérité, mais pas maintenant, un autre jour, jusqu'à se retrouver au pied du mur.

Et là, il était au pied du mur.

" N-Nero ?" dit-il dans un murmure, presque un gémissement plaintif. Oh, que la trahison était douloureuse, même après tant de fois. Surtout cette fois. C'était comme si quelque chose s'était cassé, comme un élastique qu'on a trop tiré, ou une branche qu'on a trop courbé. C'était quelque chose, et ça faisait mal. Ça troublait les pensées qu'il tentait d'ordonner. Et malgré les milles choses qu'il aurait voulu faire, il ne pouvait pas bouger, gelé sur place à fixer le brun.

Elle vole, Dame !

... mais pas vraiment comme elle le souhaite. Parce que c'est dans un cri de douleur qu'elle s'envole dans les escaliers, perdant l'équilibre pour se ramasser... et les deux autres, qu'elle entend courir dans les souterrains juste à côté... est-ce qu'elle les entend seulement ? Est-ce qu'elle comprend seulement où elle se trouve ?

Elle voit une lumière. Une unique et simple lumière. Mais pas celle de sa mort, car aujourd'hui n'est pas un beau jour pour mourir, contrairement à ce que l'on pourrait croire. Et elle le prouve une fois de plus: parce qu'elle pioche d'une main douloureuse dans la boîte qu'elle entraîne partout avec elle, celle qui tape contre sa cuisse à chaque fois qu'elle tourne et danse - oh dame, sa danse.

C'est alors qu'elle sort une seringue, unique et en glisse l'aiguille sur sa peau blafarde, jusqu'à pouvoir la transpercer, au bon endroit, bon moment: Ô adrénaline ! drogue des combattants et valseuses, qui dansent jusqu'à s'écrouler au sol d'un local souterrain...

Il n'y avait plus qu'à attendre que l'effet se mette en route.

Spoiler:

Il a touché et elle a disparu. Mais son visage reste fermé, on ne peut lire aucun signe de satisfaction quant au résultat de ce tir, il s'approche des escaliers et il entends un homme brailler qu'il va tirer sur les citoyens. O'Leary et Néri s'en occuperont. Lui il n'a qu'une seule idée en tête, stopper l'Albinos. Il sait que s'il descend, les communications seront coupée. Mais ça ne l'arrête pas. Et de toute façon avec toute cette cohue, l'oreillette est devenue purement inutile, alors il l'attrape et il la laisse tomber par terre.

Il descend lentement en position de tir. Est-ce que tu vas bien ? Sa chute n'était pas prévue . Il avance dans les escaliers pour se retrouver en bas avec Sacha. Il braque son arme vers elle, prêt à tirer. Le pourrais-je seulement ? Il reste impassible, elle ne doit pas se douter un seul instant qu'il y ai possibilité qu'il puisse faire preuve d'une quelconque pitié. Rien que d'y penser, ça le révulse. C'est un prédateur alors pourquoi ne pourrait il pas la mordre ?

"Tu sais bien que si il le faut, je te mordrais à mort pour t'arrêter. Alors pourquoi tu t'entêtes hein ?"

Mon royaume pour une parade

Mais tu voles, petit blond ? Non parce que dans une cabriole des plus brillante, tu arrives à éviter des coups de feu dont les balles s’enfoncent comme dans du beurre dans les dalles ou se trouvait ta poitrine quelques instants auparavant. Tu as d’abord trébuché, puis avec une habile cavalcade, tu t’es redressé en envoyant un couteau dans l’épaule gauche de ton agresseur, le monstre et sa coupe de cheveux trop parfaite de rockeur du dimanche soir. Non franchement, tu ne vois qu’une guitare pour compléter son look.

Avec cette pirouette des plus incertaine, mais pourtant salutaire, tu te retournes bien vite pour foncer droit sur l’autre soldat que tu n’as pas réussi à toucher un peu plus tôt. La douleur commence à se faire sentir et tu as de plus en plus de mal à bouger ton bras. Mais qu’importe, tu ne dois pas te laisser aller à te reposer maintenant. Tu dois foncer, tu dois t’en sortir. Tu dois te battre. Tu dois vivre. Ne te laisse pas faire, Maxime. Alors d’un geste fluide, qui te tire un petit grognement de douleur, tu t’élance sur Fraus afin de planter ton couteau dans les zones affaiblies de sa carapace.

FIN DE L'EVENT.

ENVIRONNEMENT:
- La place est encore une fois abimée (ça devient une habitude), les rebelles s'enfuient et les gardes les pourchassent dans toute la ville. Une journée normale à Erèbe, quoi.

GARDES CIVILS ET ROYAUX:
- Jonah O'Leary: On ne peut pas dire que ce soit ton jour. Non seulement tes subordonnés font n’importe quoi, c’est un bordel sans nom et un malade menace menace de shooter le Sommet, mais en plus tu te fais encore attaquer par le blondinet qui a vraiment la rage. C’est l’épaule gauche qui prend, cette fois, et tu perds un PV. En plus ce salaud parvient à s’enfuir ! Après avoir traqué les quelques rebelles qui n’ont pas encore pris la fuite pour les foutre en taule, on t’apprend la destruction de la télécommande. Certains disent qu’on a entendu ton « ELLE EST QUOI!!? » résonner dans toute la ville. Seul point positif de la journée : Alex a réussi à appréhender Sacha. Enfin un qui n’est pas un incapable.

- Fraus Néri: Tu sais, rester planté sur place, même si c’est original comme stratégie, ce n’est pas conseillé pendant une bataille. Tu en as la preuve lorsque Maxime tente de te planter un couteau dans le bide. Au moins cette tentative de meurtre a le mérite de te reboot le cerveau et tu parviens à l’esquiver juste à temps. On ne peut pas dire que ta contre attaque soit une réussite, mais au moins t’as tenté le coup. Lorsque tu regardes à nouveau en direction de Nero(?), tu vois qu’il s’est fait plaquer par un garde, et pas le temps d’aller confirmer tes horribles doutes, tu dois aller aider à attraper les rebelles qui s’enfuient (ta seule action utile de la journée, soit dit en passant)

- Oz Mierzwiak: Alors que tout semblait perdu, l’attention de Fred est détournée par un boucan monstre à l’entrée du souterrain, ce qui te permet de fuir et de le semer ! Tu cours au hasard, en essayant de mettre le plus de distance possible entre vous deux. Avec autant de secousses, malheureusement, la télécommande finit par glisser hors de sa cachette et tombe par terre, où elle se brise. Si seulement on avait écouté l’architecte qui voulait mettre de la moquette par terre…Tu finis par retomber en terrain connu, et retrouve tes collègues. Par contre, c’est à toi d’annoncer le sort du gadget à Jonah… courage.

- Alex Marston: Que dire ? Bravo, tu as réussi là où tous les autres ont échoué : tu as réussi à capturer Sacha ! Grâce à toi, Jonah évite une rupture d’anévrisme, et le reste des gardes un sermon pour le moins douloureux.

REBELLES:
- Sacha #####: Effondrée dans les escaliers, tu utilises ta potion +3HPs, ce qui te redonne un peu de vigueur. Malheureusement, Alex vient te récupérer ! Malgré l’effet du médicament, tu n’es pas en état de t’échapper, et est donc capturée. Allez, zou, direction les cachots !

- Fred Barcroft: Tu t’es retourné en entendant tout le fracas causé par Sacha dans l’entrée. Dommage, puisqu’Oz en a profité pour s’enfuir dans les ténèbres des souterrains. C’était bien parti, pourtant ! Tu pars à sa poursuite mais ne parvient pas à la rattraper. C’est bête, mais en même temps tu échappes aux gardes ! Pas de prison pour toi. A noter que tu croises en chemin les restes d’une télécommande écrasée.

- Natasha Alinovitch: Au bord de l’inconscience, tu sens quelqu’un te soulever et partir en courant avec toi. Grâce à Maxime, tu échappes à la capture.

- Maxime Dolores: Quel homme ! Tu parviens à entailler l’épaule gauche de Jonah avant d’essayer de poignarder Fraus qui est toujours planté comme un con au milieu de la place. Ta tentative semble le réveiller puisqu’il esquive et tente de t’en coller une, mais échoue. Serais-tu au bout de ta chance ? Il semble bien que non, puisque tu arrives non seulement à t’échapper au milieu de la cohue générale, mais en plus tu récupères Natasha pour l’emmener à l’abri. Bravo !

- Nerone Jelkins: C’est bien beau de brailler en menaçant le Sommet pour faire diversion, mais ça a l’inconvénient d’attirer toute l’attention sur toi… tu découvres ça douloureusement en te faisant plaquer par un garde. Au moins, tu peux te vanter d’en avoir fait planter un, vu comment il a l’air d’avoir buggué en te voyant. Dommage qu’il ait été trop loin pour voir sa tête. Tu rejoins Sacha en détention !

NOTES:
- Et voilà, l'event est fini ! Merci à tous les participants !

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