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Invité - don't go if you wanna know |M.M
Message Sujet: don't go if you wanna know |M.M   don't go if you wanna know |M.M 1450534713-ug-03-iconshorloge Sam 4 Jan - 18:32

« Beautiful stranger, I wanna lose my mind in the danger of your arms »

PHYSIQUE
Marley n’était pas plus haute qu’un mètre soixante. Elle se tenait toujours très droite, le port altier. Malgré tout elle avait une démarche mal assurée, un pas lent et hésitant, des gestes vifs et nerveux qui diminuaient fortement son potentiel d’élégance. C’est qu’elle essayait bien de faire des efforts, mais la pauvre femme, il fallait le reconnaitre, était démunie de la moindre prestance. Et quand on l’observait se dandiner maladroitement sur place, quand ses fines jambes s’entrechoquaient entre elles et qu’elle tremblotait doucement à cause du froid, on ne pouvait qu’être d’accord sur un point : pour un garde, elle n’en imposait pas beaucoup.

Enfin à défaut de susciter une quelconque admiration, on la trouvait au moins mignonne. Elle avait un air ahurie, un œil coquin encore, des traits finement dessinés. Elle était un peu maigrichonne, pas dénuée de toutes formes mais presque. On lui trouvait le teint blême, la peau claire, parsemée de pansements et de bleus en tout genre qu'elle se faisait à la plus petite agitation ou altercation.

Elle se forçait à sourire parfois pour paraître plus sympathique, ce qui donnait l’impression qu’elle avait l’air gênée ou qu’elle ne savait tout simplement pas où se mettre. Pourtant elle avait un joli sourire qui laissait entrevoir une dentition presque parfaite, à ceci près qu’elle avait des dents du bonheur qui accentuaient encore son allure de petite fille égarée.

Elle avait l'air dépassé, fatigué. Elle avait des petits yeux fouineurs, marrons, un peu tristes peut-être, agrémentés de cernes pour la décoration. Deux yeux encore rougis par les larmes, éteints, mais qui tournaient dans tous les sens au moindre bruit suspect.

On la reconnaissait facilement pourtant, une fois quitté l'uniforme (je suppose qu'il en existe un) de la Garde. Elle aimait porter un gros manteau rouge qui l'épaississait un peu, cachant ainsi son mince gabarie. Aussi il y avait toujours un bonnet bien enfoncé sur une longue chevelure châtain, des gants à ses mains, une écharpe, de grandes bottes noires. A dire vrai elle donnait l'impression de ne porter rien d'autre. Elle s'habillait de la même façon. Et une fois débarrassé de tout ce superflu, on l'aurait trouvé aguicheuse dans ses petites jupes moulantes s'il n'y avait pas eu toute une couche de pulls et de cols roulés autour de son buste, toujours noirs ou gris et qui, ma foi, lui donnaient des allures de cambrioleuse.


MENTAL
Marley fait partie de ces gens, de ces gens qui ne savent jamais trop comment réagir, de ces personnes indécises qui regardent le monde du bas côté de la route sans jamais savoir s’ils feraient mieux de le rejoindre un jour et par quel moyen y parvenir. Et pourtant. La pauvre fille a les pieds en plein dedans. C’est boueux, c’est gadoueux, on nage dans la mélasse, on se noie, on s’épuise en mouvements inutiles, on se fatigue encore en décisions maladroites. Marley hésite, ne choisit jamais au fond. Elle ne se bat pas, elle vit sans convictions, sursaute seulement de temps en temps. Et entre l’obscurité, la misère, dans les rues de ce gigantesque labyrinthe encrassé, sous un monticule d’ordures, derrière les cadavres de bouteilles, les mégots de cigarettes écrasés, les boites de conserve vidées, les odeurs nauséabondes des vieux quartiers oubliés, Marley s’étonne. Elle s’étonne de déambuler encore dans ces rues le soir tardif après y avoir passé la journée, de ne plus avoir peur de ce qu’on peut y trouver, de ne plus se boucher le nez, les oreilles, de ne plus fermer les yeux. Faire face à moitié, lâchement, non pas pour les autres mais uniquement pour soi-même, uniquement pour se donner bonne conscience quand on se plaint encore de ce qu’on possède tandis que d’autres n’ont rien.

Marley cogite. Parfois elle voudrait agir mais tremble à cette idée. Marley ne se voit pas comme quelqu’un de courageux, Marley ne sait pas réellement ce que veulent dire les mots bonté, générosité. On ne l’y a pas familiarisé. Ca ne se fait tout simplement pas de là où elle vient. Marley ne sait que se replier sur elle-même, oublier la sphère publique. Elle pourrait s’en vouloir longtemps, la jeune femme n’ose pas, alors parfois elle remet ses œillères, s’enferme à nouveau dans une cage dorée pour ne plus voir, mais rien ne disparait pourtant. Des visions la hantent, des voix reviennent inlassablement lui cracher sa lâcheté au visage. Elle culpabilise Marley, alors pour soulager sa conscience elle revient parfois dans les quartiers mal famés, un sac rempli de nourriture ou de couvertures à la main qu’elle distribue timidement aux plus démunis, les joues rouges en se demandant si ça peut suffire à la rendre meilleure. Elle n’est pas plus pire qu’un autre, pas meilleure, mais elle n’a pas mauvais fond quand on y pense, juste elle ne se rend pas compte.

Marley pense aux autres pour mieux penser à elle. Elle est égoïste sans être pour autant insensible. Elle voudrait faire mieux, elle voudrait être quelqu’un de bien. Mais elle est incapable de dire ce que font les gens biens. Au fond, elle se pose trop de questions, trop de questions auxquelles elle ne peut apporter de réponses. Ca la rend folle alors. Marley n’aime pas se sentir troublée, gênée, mais elle ne sait pas comment maîtriser ses émotions. Elle crie souvent quand personne ne la regarde, elle pleure, frappe l’air de ses petites mains, elle demande pourquoi, elle réclame une vérité, une conduite à suivre mais personne ne lui répond jamais dans sa forteresse de solitude. Ca lui noue l’estomac alors, ça lui donne juste envie de briser les choses. Marley n’est pas une femme heureuse, elle se sent seule, terriblement seule. Elle ne sait pas parler aux gens, elle passe du coq à l’âne, bafouille, envoie balader parfois, imprévisible. Elle ne s’accroche pas, jamais. En même temps le contact l’effraie, elle ne sait qu’attendre des gens, le mieux étant sans doute de ne rien en attendre. Elle aurait le désir de tout contrôler. Si elle pouvait elle serait manipulatrice. Mais elle ne sait pas faire Marley.

Elle offre aux autres l’image de quelqu’un de creux, sans grand intérêt. Elle l’oublie, mais elle n’est pas vide Marley. Souvent elle exige trop de sa propre personne, elle déteste l’échec. Elle se sous-estime. Au fond, elle est mal dans sa peau Marley, elle s’en veut un peu, se déteste parfois, se punie si nécessaire. Il y a comme un mur invisible qui la sépare du reste, un mur fébrile pourtant, avec des failles, des petits trous, qu’il suffirait juste de pousser, mais qui ne veut pas tomber.  
NOM: Moore.
PRÉNOM: Marley.
ÂGE: 22 ans.
SEXE: Féminin.
SEXUALITE: Hétérosexuelle.
SITUATION AMOUREUSE: Célibataire.
PROFESSION: Membre de la Garde Civile.
CATÉGORIE D'ARMES: Armes à distance, revolver.
QUARTIER: Premier quartier.
GROUPE: Nobles.
NOTES: //


HISTOIRE
Il me regardait avec pitié, il était mal-à-l’aise. Il passait ses mains dans ses cheveux, me regardait sans trop savoir que dire. « Vingt-et-un donc, vingt-et-un » Il répétait mon âge et se grattait la barbe. « Pauvre chaton… Pauvre chose…» Il était mal rasé, avait des cernes sous les yeux, un air fatigué qui le vieillissait. Il disait qu’il ne lui restait plus que quelques semaines à tirer et qu’il allait m’apprendre à me débrouiller. Il disait que je ne devais pas m’en faire, que si je retenais ce qu’il me disait je m’en sortirai, sinon. Je ne ferai pas de vieux os. « Qu’est-ce que tu fais là toi, on ne devait pas beaucoup t’aimer  » J’haussai les épaules. Je me posais souvent la question, pour ce que j'en savais. J'avais deux autres frères, plus grands, mieux bâtis, plus forts, qui avaient le sang chaud et qui prenaient plus à coeur que moi les intérêts de la Monarchie, et qui étaient par conséquent plus à même de rejoindre la garde civile. Pourtant c'était moi que Père avait décidé d'envoyer. Parce que tous savaient d'où je venais. Je ne ressemblais ni à mon père ni à ma mère, mes origines semblaient confuses, je semais la zizanie au sein de la famille, du couple. J'étais l'ombre jetée sur le tableau. On savait que j'étais la bâtarde, issue d'un odieux adultère. On avait donc préféré se débarrasser de moi, juste comme ça.

Je n’étais pas faite pour ces choses-là pourtant. Jusqu’alors je n’avais jamais quitté le premier quartier, j’étais habituée à l’ambiance des lumières dorées des lampadaires que j’observais du haut d’une fenêtre. Petite fille autrefois oisive et rêveuse, j’avais rarement éprouvé la curiosité d’aller voir ce qui se trouvait au-delà de ma rue. Je contemplais avec satisfaction le calme plat de ma rue, où seul le glissement des robes dans les allées et les chuchotements des femmes pouvaient réellement perturber le silence qui régnait autour de ma maison. Et quand je me lassais du spectacle je n’avais qu’à me retourner vers l’intérieur, petit mais douillé, richement meublé, chaud et paisible. Je m’installais sur le canapé à côté de Mère, je jouais avec des poupées, je mangeais les friandises disposées sur une table basse en face de moi, bercé par une musique qui emplissait la pièce d'une tranquillité doucereuse. Mère et moi étions souvent seules. Père rentrait rarement, mes deux frères passaient la journée dehors, Mère avait cessé de s'occuper d'eux dès lors qu'ils lui avaient paru insupportables. Moi elle ne me disait rien, parce que je ne disais rien. Elle ne souriait pas beaucoup mais elle hochait la tête, ravie, quand elle me voyait si sage à côté d'elle. Elle buvait du vin, beaucoup je crois, mais elle aimait le boire avec silence, et je lui massais avec douceur les épaules quand elle se plaignait de douleurs. Elle s'énervait peu, préférait agir avec un gracieux détachement. Je passais mes journées à contempler Mère, à imiter ses manières, à chercher à comprendre le mécanisme qui la faisait fonctionner. Je voulais tout comprendre de cette femme si froide et si belle. J'admirais Mère, même si je comprenais à présent à quel point elle avait pu être indifférente. Après tout, quand on lui avait dit que ce serait moi qu'on enverrait à la Garde, elle s'était contentée de faire la grimace, à peine affectée, et avait simplement ouvert une énième bouteille en guise de mécontentement.

« Il ne faut pas trop en vouloir aux rebelles, après tout ils défendent leur cause. Mais toi, tu n’as rien à voir là-dedans, et tu ne veux rien à voir là-dedans, n’est-ce pas ? Il faut laisser faire » Mister Nolan, puisque c'était le nom de celui qui, heureusement pour moi, m'avait pris en charge et en affection, me disait que je n'avais pas besoin de prendre trop à coeur cette histoire de garde. Ce n'était l'affaire que de quelques années, après je serai tranquille qu'il disait, d'ici là, il valait mieux ne pas se faire remarquer et rester discret. Je ne savais pas me battre, je n'avais pas la force ni les réflexes nécessaires dans ce genre de situations. « Tu te ferais écraser. Reste dans ton coin, fait ton tour et rentre chez toi. Crois-moi, tu ne peux rien faire de plus » Je m'arrangeais pour patrouiller dans des coins tranquilles, ou sur des "grands axes". Je ne parlais à personne, je baissais les yeux quand on me regardait avec insistance. Je me calais parfois dans un endroit tranquille, je jouais avec mon revolver en attendant que ça passe. Si je ne faisais rien, il n'arriverait rien.

Parfois je me disais que c'était mal. Enfin je ne savais plus ce qui était bien ou mal, j'avais du mal à définir ces deux notions. Un jour, je suis sortie avec un certain Arnold. Je ne saurai dire ce qui m'a plu chez lui, il ne m'a jamais dit ce qu'il faisait ou d'où il venait. Il s'appelait Arnold, je ne savais rien de plus, et il disait que la vie n'était pas juste. Il avait un visage banal, un regard trouble, et je le perdais parfois dans la foule, il disparaissait et réapparaissait sans que je m'en aperçoive. C'était un homme louche. Il disait que je ne devais pas avoir peur des autres, il disait que je n'avais rien à craindre. A la tombée de la nuit, je le rejoignais à la périphérie de la ville. Il me faisait toucher du bout du doigt la misère. Il disait vouloir œuvrer pour une cause plus juste. Je me suis posée des questions, des mauvaises questions, des bonnes questions. Je crois que j'ai commencé à culpabiliser à partir de ce moment-là. Mister Nolan et Arnold entraient en conflit dans ma tête. Ils se faisaient la guerre. Les réflexions fusaient, mes pensées se tiraient dans les pattes à grands coups de canons, se décapitaient et se torturaient les unes et les autres. La nuit je rêvais que je changeais les choses, je partais en campagne, je louais la révolution, je détrônais le roi. Le jour, je me tortillais dans tous les sens, craignant le moindre geste suspect, je réprimandais la violence, j'essayais, j'ignorais encore le crime, je fermais les yeux en même temps, et pus j'observais comme étrangère. Je ne me sentais pas vraiment à ma place, pas vraiment chez moi. Mon revolver dodelinait entre ma main gauche et ma main droite. Je vacillais, je déambulais. Je me perdais parfois. J'étais maladroite, d'une lenteur presque accablante. J'étais incapable, je portais mon incapacité sur mes épaules. Je me fichais de tous ces gens. Je ne me fichais pas de tous ces gens. Je ne savais plus ce qui me tenait à coeur. Arnold avait disparu, semant le doute dans mon esprit. Mister Nolan avait terminé son service, il avait dit éprouver le besoin de sortir d'ici. Il voulait explorer l'extérieur. Je ne pensais pas que c'était possible, je pensais qu'il n'y avait rien à voir. Je ne croyais pas aux légendes, je préférais ne pas y croire. J'étais persuadée pourtant que la mort l'attendait et je n'ai jamais compris les raisons qui le poussaient à abandonner son confort de vie pour aller dehors. Je n'ai jamais revu Mister Nolan et je n'ai jamais cherché à le retrouver.

Je ne savais pas comment me soucier des autres quand j'avais du mal à échanger avec moi-même. J'essayais de comprendre. Mais je ne comprenais pas. Ne rien faire. Comment ne pouvais-je ne rien faire ? Et pourquoi pas en même temps ? Que faisait-on pour moi ? Je n'avais besoin de rien. Mais je me sentais vide. Tellement vide. Je devais agir. J'en avais l'envie, mais la motivation me quittait l'instant d'après. Aucun ne m'avait jamais indiqué une route, un chemin à prendre, et je n'étais pas certaine de pouvoir y arriver toute seule.

Il était arrivé des mauvaises choses. Des moments difficiles où il est impossible de rester de marbre. De cela, j'ai retenu une chose : l'autre n'hésite pas lui. S'il peut tuer il le fait. Je n'ai pas gagner en assurance. J'ai déserté. Enfin. Je me suis égarée. Je me suis recroquevillée dans un coin, je n'ai pas participé au massacre, je l'ai observé de loin. Si on m'avait déniché je ne sais toujours pas ce que j'aurai fait. J'avais mon arme tout contre moi. J'ai abandonné la garde l'affaire de quelques heures. J'aurai peut-être tirer. Je l'ai déjà fait en fait, tuer quelqu'un. Un ou deux rebelles égarés, isolés, qu'il avait fallu faire taire. Appuyer sur la détente ne me fait pas peur, le sang ne m'effraie pas. Ce sont les corps endormis, les yeux écarquillés, les visages pâles de mes semblables qui reviennent me hanter, qui me demandent de quel droit je leur ai ôter la vie, au nom de quel principe, de quelle loi, et ils crient, ils me mettent à nu, ils lisent en moi comme dans un livre ouvert. Ils savent ce que j'ai fait, ou plutôt ce que je n'ai pas fait. Ils m'en veulent. Ils ne veulent pas que je dorme. Je leur dis de se taire. Mais ils ne m'écoutent pas, ils ne se taisent jamais. Ils disent que c'est dans leur droit, que je n'ai rien à leur dire, ils me punissent, ils sont là pour me rappeler mes crimes, pour me rappeler que j'ai moi aussi perdu mon humanité, que je ne peux plus rien pour moi. Ils sont ma honte, mes doutes et mes peurs, mes cauchemars, m'applaudissant quand j'ajoute un autre de leurs congénères à mon palmarès.



ET IRL?
PSEUDO: Sarah.
ÂGE: 20 ans.
A PROPOS DE VOUS ?: Je m'aime.
SPONSORISE PAR: Je vous ai trouvé sur un top site '_'
FEATURING: Un original de je ne sais plus qui, il faudrait que je retrouve toussa toussa.
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Invité - don't go if you wanna know |M.M
Message Sujet: Re: don't go if you wanna know |M.M   don't go if you wanna know |M.M 1450534713-ug-03-iconshorloge Dim 5 Jan - 12:05

Oh oh oh !
Juste pour dire que j'ai fini '_' pardon, l'histoire, j'en ai fait du caca !
Mais euh. A vous le verdict hein.

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Fraus Néri
Magistrat



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Fraus Néri - don't go if you wanna know |M.M
Message Sujet: Re: don't go if you wanna know |M.M   don't go if you wanna know |M.M 1450534713-ug-03-iconshorloge Dim 5 Jan - 14:09

Owii, une garde ! Bienvenue sur Underground /o/

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Sacha #####
Rebelle



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Sacha ##### - don't go if you wanna know |M.M
Message Sujet: Re: don't go if you wanna know |M.M   don't go if you wanna know |M.M 1450534713-ug-03-iconshorloge Dim 5 Jan - 17:22

BIENVENUE SUR UNDERGROUND (officiellement) !

Notes de Dieu:  :cry:  J'AIME COMMENT TU ECRIS PFPFPF y a juste une répétition sur le "la rue" au début mais sinon je je ahhh OH ET 1/ JE VEUX UN LIEN AVEC MON DC (Léo) 2/ VIENS SUR LA CB DES QUE TU PEUX promis on est gentils faut pas être timide et tout allez viens on est biens cccccc:

Tu dois maintenant: Parce qu'il y a quelques obligations, quand même. Enfin, pas beaucoup pour le moment.

  • Faire ta fiche de relations. (www)

Tu peux maintenant: Parce que... parce que c'est très bien, voilà !

  • Faire ton TEL. (www)
  • Faire ton journal ou d'autres trucs cools dans le passé. (www)
  • Et si jamais t'as envie de RP maintenant, tu peux aller: sur la Chatbox (www), sur les demandes de RP (www) ou encore aller faire une nouvelle demande ! (mais on aime pas ça, ewww. c'est caca.)

Et on a ajouté à ton inventaire:

  • Ton arme... surtout, vise la tête, c'est plus efficace. Ou les services trois pièces...
  • Ta maison !
  • Une fiole de santé +3HP si jamais tu te prends le petit doigt de pied contre la commode de ta chambre.

Et bonne chance !

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Message Sujet: Re: don't go if you wanna know |M.M   don't go if you wanna know |M.M 1450534713-ug-03-iconshorloge 


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